Une délégation de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) au Burkina Faso, conduite par son Représentant Résident OKITSU Keiichi a été reçue, le lundi 23 novembre 2020, en audience par Madame la Directrice Générale du Centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles De Gaulle (CHUP-CDG), Cyrille Priscille KABORET/OUEDRAOGO.

L’objectif de cette audience selon le Représentant Résident de la JICA, était de traduire d’une part, de vive voix à Madame la Directrice Générale du CHUP-CDG, la volonté de la structure dont il a la charge, de réaliser le projet de construction et d’équipement de la maternité ainsi que l’extension du service d’imagerie de l’hôpital, et d’autre part effectuer une visite des sites retenus.

Pour lui, c’est la qualité des projets élaborés par le CHUP-CDG et transmis à la JICA par le biais des ministères de tutelle, qui les a convaincus et les a emmenés à faire une exception pour leur réalisation, car dit-il, ces types de projet, en principe, ne font pas partie des domaines d’intervention de leur Agence.

Prenant la parole, Madame la Directrice Générale du CHUP-CDG a remercié le Représentant Résident de la JICA et sa délégation pour l’avis favorable accordé aux projets de construction et d’équipement de la maternité ainsi que l’extension du service d’imagerie de l’hôpital qui leur ont été soumis. La réalisation de ces projets s’inscrive selon elle, en droit ligne avec le développement du volet mère enfants du CHUP-CDG. Toute chose qui permettra de prendre en charge le couple mère enfant et lutter efficacement contre la mortalité néonatale, a-t-elle ajouté.

Après l’audience avec Madame la Directrice Générale du CHUP-CDG, la délégation de la JICA a effectué une visite des sites retenus pour la réalisation du projet de maternité et d’extension du service d’imagerie médicale.
Il est à noter que la réalisation de ces projets en faveur du développement du volet mère faisait partie des défis phares que s’était lancée Madame la Directrice Générale du CHUP-CDG à sa prise de service en janvier 2019. Ce partenariat avec l’Agence japonaise de coopération internationale, qui augure de bonnes perspectives, permettra sans doute de relever le défi. Ne dit-on pas que ce que femme veut, Dieu le veut ?

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